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 Paul Hareng,
«Le maçon aux mains d'or »
de Jargeau
(1899 - 1968)

 

 
(Voir rubrique magnétisme,
paragraphe : spiritisme)

 

 

 
 
 

                                 

 
  
Livres sur Paul Hareng

 

Le maçon aux mains merveilleuses 

(1952)

- Extrait -

                                                                                                                                                          

Le pont franchi, j'ai traversé la grand'rue de la ville et au-delà, un peu à l'écart des autres, la maison de Paul Hareng m'est apparue. Maison de maître-maçon qui a gardé des goûts modestes, mais qui aime la bonne et solide construction. Et tout de suite, devant la porte et tout autour du terrain qui précède la demeure, j'aperçois un nombre fantastique de voitures qui stationnent.

 

Automobiles de maîtres, camionnettes de marchands, guimbardes sans âge, désuètes et lasses de rouler, derniers modèles de luxe ou de sport, motocyclettes bruyantes, « pataches » haut-perchées venus de quelque ferme du voisinage, tout cela se côtoie, se serre dans un « roue à roue » fraternel. Je pousse une porte qui s'ouvre sans qu'on ait besoin de sonner. Ici, comme dans ces monastères où le voyageur trouve toujours asile, elle n'est jamais close à la souffrance et s'il existe des heures de consultation officielles, je me suis laissé dire que ceux qui frappent ne se heurtennt jamais à visage de bois.


J'entre. La pièce dans laquelle je me trouve après avoir traversé un vestibule, ressemble à la salle d'attente d'une gare devenue trop petite par suite de l'augmentation du trafic sur la ligne. Des gens s'y pressent, assis, debout, tassés comme ils peuvent, installés là depuis le début de la matinée et bien avant l'heure de la consultation. Il y a de vieilles paysannes portant bonnet et palatine, des femmes avec des enfants en bas âge, accrochés goulûment au sein maternel, des hommes avec des cannes, des ouvriers en « bleu », et aussi des dames élégantes, maquillées et parfumées, des messieurs très dignes dans un pardessus de bonne coupe. Tous les échantillons de la société réunis dans la même attente, le visage creusé par la même souffrance, le regard reflétant la même inquiétude.

 

 

 

Dès 1946, Hareng avait acquis la célébrité et se classait déjà parmi les guérisseurs les plus réputés de France. Des autocars, venant de Seine-et-Marne, de l'Aube et de l'Yonne, déversaient chaque jour des flots de malades devant son domicile.


Des voitures de toutes sortes stationnaient aux abords de sa demeure et, parmi celles-ci, certaines arrivaient même de Belgique, d'Angleterre ou de Suisse.


La petite ville retrouvait une activité disparue depuis bien des années et, comme au temps des pélerinages à la gloire du bon Saint-Marcoul qui guérissait les écrouelles, Jargeau redevenait la Cité des Miracles.


C'est trois ou quatre cents malades qui défilent journellement chez le guérisseur.

 

Presque tous avaient désespéré de recouvrer un jour la santé ou de voir cesser leurs souffrances et pourtant, ils avaient été guéris et avaient pu, non seulement retrouver leurs habitudes, mais encore reprendre leurs occupations.

 

 

 

 

 

Comment Paul Hareng avait-il été amené à s'intéresser à la radiesthésie ? Tout simplement par hasard, ce hasard qui fait bien les choses et qui lui permit de rencontrer chez des amis, à Olivet, le célèbre abbé Mermet.


Ce fut en présence de cet abbé dont le nom demeure désormais inséparable de cette science encore mal connue que l'entrepreneur découvrit ses dons.


 

 

 

 

Quelques exemples de guérisons.


M Leduc, guéri des oreillons.


M Robert thénard, souffrait de l'estomac depuis de longues années et avait de ce fait consulté de nombreux médecins. Il a suivi le traitement, de simples impositions des mains et grâce à cela, l'ulcère s'est cicatrisé.


M Fernand Pousse, il a été, lui aussi, guéri d'un ulcère à l'estomac par Paul Hareng.


Mme Trouillet, complètement paralysée, elle a presque subitement retrouvé l'usage de ses jambes après l'intervention du guérisseur.

- Je ne pouvais plus me « grouiller », dit-elle. Il est venu chez moi et a fait enlever le couvre-pied qui était sur mon lit. Il a imposé ses mains et dix minutes plus tard, je me levais pour faire mon lit. Deux heures plus tard, j'étais complètement guérie.


M Galliot ne pouvait plus se remuer, explique-t-il. Certains médecins pensaient que j'avais de la sciatique, tandis que d'autres, en particulier les neurologues, attribuaient cette sorte de paralysie à un déséquilibre nerveux. On a essayé sur moi tous les traitements, mais rien ne me soulageait. Ne sachant plus à quel saint me vouer, je me suis rendu à Jargeau pour consulter Hareng. Bien m'en prit, car celui-ci constata tout de suite que personne n'avait songé à soigner mon foie et que celui-ci était l'unique cause de mon état. Quand je suis arrivé chez lui, il a fallu me porter. Cinq minutes après, je suis sorti en marchant et je suis aller boire un coup de vin blanc de bon coeur !


M Renold, explique que non seulement Hareng l'a soulagé d'une sciatique, mais encore qu'il a sauvé son bébé atteint d'une méningite.


Le fils de M Cassadei, condamné par les médecins qui, avec juste raison, avaient diagnostiqué une méningite foudroyante, fut aussi sauvé de la même façon.


M Bernois, rapporte que les médecins avaient dit qu'il ne marcherait jamais plus, et pourtant je suis reparti de chez Hareng avec mes béquilles sur l'épaule.


M Billereau, qui atteint d'une décalcification de la colonne vertébrale, ne put retrouver la santé qu'après avoir eu recours aux soins du guérisseur.


M Louin voit la disparition de ses rhumatismes et Mme Billebault l'amélioration de son état. Cette dernière souffrant d'une maladie de coeur n'avait plus, selon ses dires, qu'une heure à vivre.


M Pascard avait le coeur malade et était alité. Ma famille n'ayant plus d'espoir fit appel à Hareng. Celui-ci se rendit chez moi à 4 heures du matin et quinze jours après, il m'était possible d'aller le voir à Jargeau, seul, au volant de mon automobile.


La complète guérison de la tumeur au bras de M Chameau, qui échappa ainsi à une amputation probable.


Mme Gallier, dont l'urée et l'asthme disparurent.


La guérison d'une décalcification du genou chez M Petit. Cette décalcification se trouva arrêtée, de même que celle de la colonne vertébrale de M Lions.


Des zonas à l'oeil, tellement douloureux, furent aussi vaincus par Hareng.


Mme foucher, qui fut débarrassée d'un eczéma purulent.


M Jeanpierre, artiste peintre, explique :

- Je ne pouvais plus lever le bras, j'avais de la névrite dans l'épaule et naturellement, il ne m'était plus possible d'exercer mon métier. Hareng m'a guéri, et depuis, je suis un autre homme.


Mme Houssac, souffrant du foie et du coeur, fut soulagée par Hareng.


Mme Minvieille garde une profonde reconnaissance au guérisseur et le dit avec chaleur : il a réussi à guérir mon petit-fils, âgé de six ans, qui ne pouvait plus manger et dépérissait. Six séances seulement lui ont été nécessaires pour obtenir ce résultat.


Grand amateur de chasse, M Chartier, ne pourra pas oublier, que sans Hareng il aurait dû renoncer à la pratique de ce sport : Je ne pouvais plus faire un pas. En me voyant, Hareng m'a dit : « je te promets que dans dix jours, tu iras à la chasse ». Dix jours après, j'allais à la chasse et je ne me suis plus jamais ressenti de rien.


Mme Guérin raconte comment elle fut débarrassée en cinq minutes de spasmes nerveux.


M Nicolle, rend hommage à Hareng pour sa guérison d'une phlébite.


Une visite qui s'imposait, c'était celle qu'un certain après-midi de la fin décembre 1950, nous avons rendue aux parents de Lysiane Druet, la petite sourde-muette d'Auxerre qui, grâce à Hareng, retrouva l'usage de l'ouïe et de la parole.

Avant d'interroger M Druet, c'est aux commerçants du quartier que nous nous sommes adressés.

Tous furent unanimes pour nous confirmer l'éclatante réussite de Paul Hareng et l'extraordinaire et totale guérison de la petite Lysiane.

- un vrai miracle ! Nous déclara l'un deux. Jamais on n'aurait pu croire qu'une telle chose serait possible.

- Pensez donc, nous confia un autre, une enfant qui ne parlait pas, qui n'entendait pas et qui est aujourd'hui une enfant comme les autres !

« Une enfant comme les autres ! » C'est ce que devait nous dire Mme Druet, une aimable jeune femme qui, en l'absence de son mari, nous reçu fort gentiment et voulut, avant de se prêter à nos questions, nous dire toute la reconnaissance qu'elle avait pour le guérisseur de Jargeau :

- sans lui, notre pauvre petite fille aurait été toute sa vie une infirme. Ah ! Nous devons beaucoup à M Hareng.

 

  

 
   
 Vivre pour les autres
(1993)