Quelques exemples de
guérisons.
M
Leduc, guéri des oreillons.
M
Robert thénard, souffrait de l'estomac depuis de
longues années et avait de ce fait consulté de
nombreux médecins. Il a suivi le traitement, de
simples impositions des mains et grâce à cela,
l'ulcère s'est cicatrisé.
M
Fernand Pousse, il a été, lui aussi, guéri d'un
ulcère à l'estomac par Paul
Hareng.
Mme
Trouillet, complètement paralysée, elle a
presque subitement retrouvé l'usage de ses
jambes après l'intervention du
guérisseur.
-
Je ne pouvais plus me « grouiller »,
dit-elle. Il est venu chez moi et a fait enlever
le couvre-pied qui était sur mon lit. Il a
imposé ses mains et dix minutes plus tard, je me
levais pour faire mon lit. Deux heures plus
tard, j'étais complètement
guérie.
M
Galliot ne pouvait plus se remuer,
explique-t-il. Certains médecins pensaient que
j'avais de la sciatique, tandis que d'autres, en
particulier les neurologues, attribuaient cette
sorte de paralysie à un déséquilibre nerveux. On
a essayé sur moi tous les traitements, mais rien
ne me soulageait. Ne sachant plus à quel saint
me vouer, je me suis rendu à Jargeau pour
consulter Hareng. Bien m'en prit, car celui-ci
constata tout de suite que personne n'avait
songé à soigner mon foie et que celui-ci était
l'unique cause de mon état. Quand je suis arrivé
chez lui, il a fallu me porter. Cinq minutes
après, je suis sorti en marchant et je suis
aller boire un coup de vin blanc de bon coeur
!
M Renold, explique que non
seulement Hareng l'a
soulagé d'une sciatique, mais encore qu'il a
sauvé son bébé atteint d'une
méningite.
Le
fils de M Cassadei, condamné par les médecins
qui, avec juste raison, avaient diagnostiqué une
méningite foudroyante, fut aussi sauvé de la
même façon.
M
Bernois, rapporte que les médecins avaient dit
qu'il ne marcherait jamais plus, et pourtant je
suis reparti de chez Hareng avec mes béquilles
sur l'épaule.
M
Billereau, qui atteint d'une décalcification de
la colonne vertébrale, ne put retrouver la santé
qu'après avoir eu recours aux soins du
guérisseur.
M Louin voit la disparition de ses
rhumatismes et Mme Billebault
l'amélioration de son état. Cette dernière
souffrant d'une maladie de coeur n'avait plus,
selon ses dires, qu'une heure à
vivre.
M
Pascard avait le coeur malade et était alité. Ma
famille n'ayant plus d'espoir fit appel à
Hareng. Celui-ci se rendit chez moi à 4 heures
du matin et quinze jours après, il m'était
possible d'aller le voir à Jargeau, seul, au
volant de mon
automobile.
La
complète guérison de la tumeur au bras de M
Chameau, qui échappa ainsi à une amputation
probable.
Mme
Gallier, dont l'urée et l'asthme
disparurent.
La
guérison d'une décalcification du genou chez M
Petit. Cette décalcification se trouva arrêtée,
de même que celle de la colonne vertébrale de M
Lions.
Des
zonas à l'oeil, tellement douloureux, furent
aussi vaincus par
Hareng.
Mme
foucher, qui fut débarrassée d'un eczéma
purulent.
M
Jeanpierre, artiste peintre, explique
:
- Je
ne pouvais plus lever le bras, j'avais de la
névrite dans l'épaule et naturellement, il ne
m'était plus possible d'exercer mon métier.
Hareng m'a guéri, et depuis, je suis un autre
homme.
Mme
Houssac, souffrant du foie et du coeur, fut
soulagée par
Hareng.
Mme
Minvieille garde une profonde reconnaissance au
guérisseur et le dit avec chaleur : il a réussi
à guérir mon petit-fils, âgé de six ans, qui ne
pouvait plus manger et dépérissait. Six séances
seulement lui ont été nécessaires pour obtenir
ce résultat.
Grand amateur de chasse, M Chartier, ne
pourra pas oublier, que sans Hareng il aurait dû
renoncer à la pratique de ce sport : Je ne
pouvais plus faire un pas. En me voyant, Hareng
m'a dit : « je te promets que dans dix
jours, tu iras à la chasse ». Dix jours
après, j'allais à la chasse et je ne me suis
plus jamais ressenti de
rien.
Mme
Guérin raconte comment elle fut débarrassée en
cinq minutes de spasmes
nerveux.
M
Nicolle, rend hommage à Hareng pour sa guérison
d'une phlébite.
Une
visite qui s'imposait, c'était celle qu'un
certain après-midi de la fin décembre 1950, nous
avons rendue aux parents de Lysiane Druet, la
petite sourde-muette d'Auxerre qui, grâce à
Hareng, retrouva l'usage de l'ouïe et de la
parole.
Avant d'interroger M Druet, c'est aux
commerçants du quartier que nous nous sommes
adressés.
Tous furent unanimes pour nous confirmer
l'éclatante réussite de Paul Hareng et
l'extraordinaire et totale guérison de la petite
Lysiane.
- un
vrai miracle ! Nous déclara l'un deux. Jamais on
n'aurait pu croire qu'une telle chose serait
possible.
- Pensez donc, nous confia un autre, une
enfant qui ne parlait pas, qui n'entendait pas
et qui est aujourd'hui une enfant comme les
autres !
« Une enfant comme les autres
! » C'est ce que devait nous dire Mme
Druet, une aimable jeune femme qui, en l'absence
de son mari, nous reçu fort gentiment et voulut,
avant de se prêter à nos questions, nous dire
toute la reconnaissance qu'elle avait pour le
guérisseur de Jargeau
:
-
sans lui, notre pauvre petite fille aurait été
toute sa vie une infirme. Ah ! Nous devons
beaucoup à M
Hareng.